10 000 PATTES 2002

Vous trouverez dans cette page de nombreuses photos (réduites, mais disponibles en grand format sur demande) un compte-rendu de la course de ce lundi, les réactions de quelques couples ayant animé la course "Elle et Lui" et les commentaires des deux meilleurs seniors homme, arrivés ensemble au centième près.

Une édition 2002 sous le signe du soleil, 418 coureurs à l'arrivée, pas de gros problèmes au niveau organisation, à part un temps d'attente à la préinscription.

Dès 7 heures du matin, les membres de la section s'activent pour mettre en place les barrières, les tables , les tentes, le ravitaillement, la saisie informatique...
Cette organisation est rendue possible par l'implication bénévole de tous.

Nathalie et Jean-Louis, vous avez participé à la course "Elle et Lui", courrez-vous souvent ensemble ?
C'est la première fois que l'on court ensemble.
Et vous êtes de force égale ?
Non, c'est lui le plus fort, donc il m'attendait.
C'est difficile d'attendre ?
Il faut toujours regarder, c'est difficile de se régler, il ne faut pas partir trop vite.
Nathalie, vous avez tendance à forcer ?
Oui, un peu, on a toujours peur de ne pas être à la hauteur, mais c'est motivant. Etre à deux, c'est bien, cela permet de s'améliorer.
Et votre temps ?
Quarante-deux cinquante, environ, je fais quinze vingt secondes en moins, donc c'est bien. C'est très motivant de courir à deux.

Isabelle et Michel, courir en couple, vous l'aviez déjà fait ?
Pas dans cette course là, la première fois, c'était une course "Elle et Lui" organisée pour les enfants malades de l'Hôpital.
C'est bien de courir en couple ?
C'est intéressant de pouvoir s'entraider, d'être sur la piste pour fonctionner ensemble et s'encourager, et bon, on avait un objectif un petit peu moindre aujourd'hui donc on a voulu faire ça ensemble, tranquillement.
C'est aussi votre avis, Isabelle ?
On s'entraîne ensemble, des fois ça vaut la peine de pouvoir courir ensemble, même en compétition. C'est Michel le plus rapide, mais ça aide, ça motive, oui.
Michel : Je me fais manger petit à petit !

Chistophe, vous êtes le premier ?
Premier ex-aequo avec Jean-Claude, on avait la même allure, c'est un copain, on était devant, alors au lieu de se tirer la bourre, autant finir ensemble. On s'entraîne ensemble de temps en temps, alors autant courir ensemble.
Vous avez eu des poursuivants ?
Non. On était confiants, franchement, on s'est même permis un peu de relâcher, on a pas trop accéléré.
Est-ce que la météo du jour vous convient ?
Ca ne m'a pas dérangé, j'ai vu que pour beaucoup de monde, avec la chaleur, ça a fait du mal. Pour moi, j'étais bien, même à la fin, quand la chaleur remonte, ça m'a pas fait trop mal.
Et votre chrono, comme d'habitude ?
Non, normalement je devrais faire beaucoup mieux. Ici ce n'est pas évident, le parcours et quand même glissant, avec les graviers, et en plus je n'aime pas m'entraîner ici, je ne sais pas pourquoi.

Jean-Claude, vous avez couru en compagnie de Christophe ?
Oui, on est parti ensemble et on a fait la course ensemble tout le long du trajet. On a pas voulu tirer dedans les deux, parce qu'il y a encore plusieurs course qui vont arriver, il y en a une samedi prochain et encore une autre dimanche prochain. Donc il vaut mieux regarder un peu, on l'a fait ensemble, et la gagne, on l'a pas joué franchement.
Au niveau du terrain, il y a des difficultés ?
Terrain un peu instable, il y a du gravier, ça glisse un peu par moment, on fait attention dans les virages, c'est vraiment pas un terrain pour faire une performance. On peut faire une bonne course, mais il n'est pas assez stable pour une performance. D'ailleurs les organisateurs le savent.
Et en ce qui concerne la météo ?
Moi, j'aime pas le chaud, dès qu'il fait vingt degrés il n'y a plus personne. Là il faisait un peu chaud, mais il y avait un peu de vent. C'est la course.

C'est parti !
La course des personnalités. Maires, adjoints, chefs d'entreprise, présidents de secions ASCAP, responsables municipaux...
L'arbre voudrait bien cacher la forêt, mais le club de Valdoie l'a encerclé !
Prêts pour le départ, un peu plus de 400 coureurs

Le grand départ !

Les premiers mètres sont cruciaux pour bien se placer dans la course...

Faut aussi éviter de piétiner le photographe !